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les ecrits de la fée des anges
23 février 2012

Escapade urbaine a new York

Escapade urbaine a new York

 

Apres plusieurs heures de vol depuis Paris l’avion commence sa descente vers l’aéroport de New-York.

On aperçoit la ville à travers les hublots

Quel chance que j’ai eu de gagner ce séjour dans cette ville mythique,

La plus électrisante des villes des U S A.

L’avion atterrit avec quelques secousses rien de bien méchant

Après les trous d'air rencontré en plein vol.

L'hôtesse de l'air ouvre les portes, je me levais pour prendre mon bagage à main dans le caisson, un homme s’approche de moi et me prend ma valisette.

En me la donnant je croise son regard d'un bleu intense et souriant.

On y plongerait bien dedans si baigner, nos mains se frôlent furtivement.

A peine quelques mots échangés il se dirige vers la sortie, je me suis sentie comme aimanter par cette personne, en la regardant traverser la calandre.

Revenue a de mes songes, je me dirige vers l'escalier ou nous attendais une navette, pour accéder à l'aéroport de New-York.

Le passage des douanes se fit sans trop d'encombre, il me reste plus qu'a récupéré mes valises sur le tapis roulant qui tourne sans arrêt remplis de bagages.

Au loin j’aperçue l'homme de l’avion, un je ne sais quoi me donnait l'envi d'aller  vers lui et de lui parler.

Sans trop y croire qu'il s'intéresserait a moi je fis mine de passée à côté de lui en faisant semblant de tomber pour qu'il me rattrape avant la chute.

J’atterris dans ses bras musclés, qui sous l’effort ce mis à durcir, faisant mine d’être gênée en me redressant.

Je balbutiai quelque mots d’excuses, lui d’une voix un peu roque me dit que c’était rien.

Me propose de m’assoir sur des fauteuils qui venaient de se libérer juste à côté de nous.

Il prit mes bagages et son sac à dos, tout en se dirigeant vers nos futures assises il me demande ou je suis descendue comme hôtel.

 A l’Ace hôtel lui dis-je !! Il s'agit d'un des hôtels les plus tendances du moment à New York : esprit loft j’adore ce style.

Logiquement un chauffeur doit venir me chercher à la sortie du terminal,

Il est chargé de me conduire à l’hôtel à bord d’une Sedan Luxury,

Donc j’attends qu’il arrive, et vous, vous êtes descendu aussi à un hôtel ??

A là, le hasard fait bien les choses, je suis moi-même descendu a cet hôtel,

dit-il….moi-même j’attends un chauffeur on pourrait prendre la même voiture ?? Quand dites-vous ??

J’en revenais pas qu’il m’est dit ça, c’était vraiment un pure hasard vu la grandeur de cette ville.

Une joie intense se fit en moi je me l’expliquais pas trop, pourquoi cet attirance vers cet inconnu ?

Un chauffeur de haut standing apparu avec une pancarte avec nos deux noms inscrit dessus.

On lui fit signe que c’était nous qu’il cherchait, il prit nos bagages et les installa sur un petit chariot, nous priment la sortie de l’aéroport direction des parkings prévus pour les taxis.

Quand je vie la voiture de luxe qui  nous attendait, je me sentie des ailes pousser, j’étais au paradis.

Pendant le trajet qui nous amenaient a l’hôtel, je regardais ébahit les buildings.

Arrivée à l’hôtel il me propose de diner avec lui le soir même, ca qui évidemment j’acceptai avec joie.

Arrivée le soir il frappe à la porte de ma chambre, habillé d’une chemise

Unit de couleur pale entre ouverte qui faisait ressortir son hale de sa poitrine, avec un jeans noir moulant certaines formes pondérâtes.

Humm un frisson parcourue mon échine dorsal, en le regardant, je prie mon sac à main et je le suivis dans l’ascenseur ou un groom appuyait sur les étages demandés.

Il me frôla la jambe, c’était trop étrange cette sensation ressentie, les étages défilais sur un tableau a une allure impressionnante.

Le ré- de- chaussé allait bientôt s’annoncer part le groom, pour rejoindre  le restaurant de l’hôtel.

La un serviteur nous accueillit, on demande une table pour deux, il nous installe dans un petit coin un peu retiré, pas loin d’un piano, ou un pianiste fait virevolter ses mains sur les touches blanche et noir,

un air de jazz.

Nous priment un apéritif, l’alcool me monte un peu à la tête, après ces heures de vol j’étais un peu fatiguée.

On se mit a discuté de tout et de rien, dévoilant un peu notre vie privée personnelle, ses longues jambes me frôlaient de temps en temps à chaque fois qu’ils leurs changeaient de positions.

Le repas finit il alla voir le pianiste lui demande une musique, m’invite à danser sur un slow, nos corps se rapprochais au fur et à mesure.

Je sentais plus mon corps comme si envouté, j’avais envie de fondre en lui, de ne plus quitter de ses bras, une sensation de légèreté me pris.

Ses lèvres se posèrent sur les miennes délicatement, comme si j’étais en porcelaine, a ce contact je me suis vu pris de vertige, la tête me tournais.

Je lui répondis part un baisé langoureux, suave de passion,

Plus rien existait autour de moi, ni les gens qui dansaient, ni les gens qui mangeaient, rien le noir total, j’étais dans ma propre bulle de plaisir.

La musique ce tu, il me raccompagne a notre table, récupéré nos affaires,

Et nous priment la direction de l’ascenseur, il m’accompagne jusqu’à ma chambre et la déception me dépose un bisou et me souhaite bonne nuit.

Un peu par dépits je claque la porte de ma chambre, je me déshabille, et je me prends une douche, j’enfile une nuisette, et direction le grand lit vide.

Cela faisait a peine cinq minute que je m’étais enfuit sous mes draps, que l’on frappe a ma porte.

Je me lève, j’ouvre et que vois-je devant moi ??

Mon bel inconnu de l’avion avec une bouteille de champagne et deux verres a la main.

Je le fait entrer, il pose la bouteille et les verres sur un guéridon.

Se  retourne vers moi, fit quelques  pas en  ma direction et me pris dans ses bras.

Je ne savais pas dormir, je pensais qu’à toi, j’avais trop besoin de sentir ta peau contre moi. Me dit-il !

Il laisse tomber sa chemise, me retire ma nuisette, me soulève du sol et me dépose délicatement sur le lit.

Il commence par m’embrasser mes lèvres, descendre dans mon cou,

aller vers la gorge de mes seins qui a son touché se durcir.

Ses mains, se promène a la recherche de connaitre mon corps, il me caresse mes cuisses et vient visiter mon entrejambe, stimule mon bouton d’or.

Il se lève, prend un peu de champagne me le fait gouter, puis verse sur mon ventre le restant de son verre.

Avec sa langue, il se mit à suivre le ruissèlement,  en se dirigeant vers mon bas ventre, il mit sa tête entre mes jambes écarte légèrement mes lèvres et commence un jeu sensuelle de plaisir, je sens des contractions venir de plus en plus forte, pour finir avec une explosion de plaisir.

Il m’embrasse, me resserre une coupe de champagne, en met un peu sur son fruit bien mur de plaisir, me le présente pour que de ma langue, je lape

Le breuvage.

A ce contact je senti une raideur supplémentaire, je le mis bien en bouche, avec ma langue je fis des va et vient jusqu’à ce qu’il en puisse plus.

Il me le mit a l entré de ma grotte ensorceler, le fit glisser dans ma rivière de plaisir, jusqu’à toucher le fond des abymes.

Il cherche la position adéquate, pour me donner le plus de plaisir, il le voit à mon visage qu’il la trouver.

 Tout en faisant des allers, retours et en insistant bien sur mes endroits sensible au jeu de l’amour ses mains me caressaient, jusqu’à ce que tel un jeiser une explosion de plaisir me remonte à la surface.

Il continue ses va et vient plus frénétiques pour faire sortir la sève de son fruit au plus profond de mon antre.

Il se laisse tomber à côté de moi essoufflé, le cœur battant la chamade.

De sa main il continu a me caresser comme pour rien oublier de ce moment de plaisir.

Jusqu’à ce que Morphée nous prend.

A l’aube, il me réveille de ses bisous, de ses caresses, de son besoin de me faire l’amour.

 

 

 

 

 

 

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