Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

les ecrits de la fée des anges

1 novembre 2012

a nos anges en se jours du 1er novembre

en mémoir de nos êtres cheres

nos papas , nos mamans, nos frères et soeurs

de nos enfants de nos neveux

  a nos anges parties trop tôt

il y a pas que aujourd'hui qu'on pense a eux

c'est tout les jours  

des qu'on met un pied a terre a notre réveille ,

  dans nos rêves et cauchemards

dans la rue , dans les magasins ,en vacance
  a table quand on mange  
on voit sa place vide a jamais
quand on passe devant sa chambre
qu'on est a l'écoute d'un bruit
a nos pensées irrationnel  
de le voir franchir la porte d'entrée encore une fois
de pouvoir le prendre dans ses bras
de lui faire un câlin a a l'étouffer d'amour
a tout nos anges qui nous manque
mais qui sont a jamais dans notre coeur
et sa personne pourras nous les enlever
Publicité
23 octobre 2012

L'AMOUR C'EST:

l'amour c 'est :

en math : un problème

en histoire : une guerre

en français : un conte

en svt : un besoin 
en chimie: une réaction 
en art plastique: un coeur
en moi : toi ♥
4 juillet 2012

jalousie quand tu nous tien

je t ai aimer d un amour fous
d un amour sans limite
a un tel degré que la raison s achève.
Tu était mon soleil ,
tu était mon dieu,
tu était l homme de mes rêves.
Mais un beau jour ,
madame la jalousie est passé part la,
elle a tout détruit sur son passage.
tel un ouragan,
tel un typhon,
tel un cyclone de forte amplitude.
Cette jalousie a laisser que destruction,
tel un château de carte,
tel une maison de paille,
détruit par les bourrasques.
Il ne reste que un amas de brindilles,
ou il est impossible de reconstruire
avec ses débris,
avec ses fragments.
Je t'ai redonné une chance car
tu m'avais juré d'avoir changé,
tu m'avais juré de ne plus faire la même erreur.
Et pourtant cette fichue jalousie,
sinueuse, tortueuse,
est revenue au grand galop,
tel un étalon sauvage filant au vent.
Tu avais changé,
mais sa a été de courte duré
encore des rêves parti en fumé.
De cette fumée noir comme le charbon
rien ne sort de bon,
que pleur et désespoir,
a broyer du noir.
12 mai 2012

es tu breton ??

Tu sais que tu es breton ou bretonne si...

-Tu sais qu'en Bretagne aussi il y a du soleil.

-Tu sais que la mer est nulle part aussi belle !

-Tu arrives à te baigner dans une eau à 17 degrés en disant aux autres qu’elle est bonne.

-Tu es le seul à apprécier le vent, la pluie et surtout les tempêtes avec leurs énormes vagues qui se fracassent sur les rochers ...

-Tu sais ce que veut dire l’expression "T’es pas en sucre !"

-D'aller à la mer, ça n’a rien d’extraordinaire, c'est jamais à plus d'une heure de route de toute façon...

-Tu vérifies avant d’aller te baigner à quelle heure « Elle est haute ».

-Pour toi, se faire réveiller par le cri des mouettes, ça n'a rien d'exotique ou ça ne sent pas les vacances.

-Tu sais que l’on ne parle pas de la même pluie selon que l’on dise qu’il « crachotte » ou qu’il « pleuviotte » (soit dit en passant, en Bretagne, il ne pleut que sur les cons...).

-L’été dès qu'il pleut, tous les touristes (parisiens surtout) mettent des cirés Cotten jaune avec des bottes et toi tu es en short...

-Une tempête pour un parisien, c'est une brise pour toi.

-Tu grognes devant la météo et surtout devant le présentateur qui dit « en Bretagne ENCORE de la pluie ».

-Tu ne trouves pas que les noms de ville en Plou-quelque chose, c'est barbare ou rigolo.

-La moitié des gares de ton coin sont des gares terminus - la preuve que Paris n’a rien inventé.

-Pour toi, faire des crêpes ça ne s’arrête pas au Mardi-gras.

-Tu sais que si tu goûtes une fois à la crêpe au caramel au beurre salé, tu ne regarderas plus ta crêpière de la même façon.

-Tu sais ce qu'est une galette, et que les 'crêpes salées' c'est presque un sacrilège.

-Une crêperie bretonne hors de la Bretagne ça te fait peur.

-Tu sais que le vrai cidre, c'est du brut, et que c'est un des rares trucs que les normands savent faire.

-Tu sais que le meilleur cidre, c'est celui qui à l'aspect le plus dégueulasse.

-Pour toi, le chouchen ce n'est pas très fort.

-Il ne te viendrait pas à l’idée de prendre du poids sans que cela ait de goût (autrement dit, manger du beurre pas salé).

-Tu sais que tout marché qui se respecte vend des galettes saucisses et se finit par un Kouign amann..

-Tu sais que les Gras de Douarnenez ne sont pas des morceaux de lard !

-Tu n'as pas besoin de vérifier la signification de Gwenn ha du dans Wikipédia.

-Tu mets des « donc » à chaque coin de phrases.

-Tu parles en moyenne trois fois plus vite que la moyenne des français en coupant les fins de phrase en -ble (ex :impecab’).

-Tu utilises régulièrement des expressions comme : prendre les ribines, aller en riboul, avaler des louzoux, avoir les cheveux qui partent en distribil ou à dreuz, marcher dans le lagen, sers moi un coup de gwin ru, da gousket bihan, à bloc Jean (Le)Floc'h, impec Lagadec et l’incontournable YEC'HED MAD !

-Tu sais que baragouiner vient de « bara gwin » (du pain et du vin).

-Tu sais que les briochines ne sont pas une marque déposée de chez Pasquier.

-Tu sais ce que signifie les mois en « -bre ».

-Tu sais qu'une goélette ce n'est pas le petit du goéland.

-D'ailleurs tu sais faire la différence entre la mouette et le goéland.

-Tu sais que partout où tu iras dans le monde tu trouveras des compatriotes.

-Tu sais ce que c'est qu'un biniou ou une bombarde ou encore un cercle ....

-Tu sais ce que c’est qu’une école Diwan.

-Tu dis des festou-noz et non pas des fest-noz car oui le breton a un pluriel.

-Le Fest-Noz c'était un peu ton bal des pompiers à toi.

-Tu ne doutes pas que dans Ille et Vilaine, « Ille » prend 2 L.

-Tu sais que la Cornouaille c’est pas qu’en Angleterre.

-Tu sais d’où vient Merlin l’enchanteur.

-Tu sais ce que c’est qu’un korrigan.

-Tu sais que la chanson 'la tribu de Dana' n'est pas une traduction de l'original d'Alan Stivell, mais alors pas du tout.

-Les gens te demandent toujours si tu parles breton, alors qu'en fait le seul mot qui te vient à l'esprit c'est toujours kenavo.

-Tu râles tout le temps sur ta région mais quand tu la quittes tu clames haut et fort ta fierté bretonnante.

Alors breton ?

18 mars 2012

Vacance a Hallendal en Floride

Vacance a Hallendal en Floride

 

 

Enfin la journée de travail finit, c’est enfin les vacances

Demain le grand départ vers la Floride, le soleil, les cocotiers,

Les plages à perte de vue au sable blanc et chaud, la mer couleur turquoise, j’ai vraiment hâte d’être à demain.

Lyly finit ses dernières valises, et celle de son ami Alex.

Elle se mit à préparer à manger en attendant qu’Alex rentre du boulot.

Mit la table et s’assit pour siroté un soda en regardant à la télévision les dernières actualités, la météo prévoit encore moins dix pour demain.

Lyly entendit la clé tourner dans la porte, elle se leva pour l’accueillir,

lui sauta au cou, et l’embrassa goulument, lui ôta son manteau le laissant gire a même le sol, souleva sa chemise à la recherche de ses muscles de son dos le caressa.

Donna une pression pour que leurs corps se rapprochent se serra contre lui comme à une bouée de sauvetage.

Ho que tu m’as manqué aujourd’hui j’avais l’impression que cette journée finirait jamais, trop hâte a demain de prendre l’avion.

Le repas est prêt mon n’amour, Installe toi a table, je vais a la cuisine le chercher.

Un peu à contre cœur, elle le lâcha, elle revint avec des pattes tagliatelles accompagné de saumon, qu’elle avait gardé au chaud en l’attendant.

Une fois le repas terminé, il l’aida à débarrasser et à faire la vaisselle,

tout s’en embrassant de temps en temps.

Avant de se coucher, regardèrent a deux une dernière fois leur valise, prépare les passeports et visa, ainsi que leurs billets d’avion.

Une fois terminé le control, ils allaient prendre une douche a deux,

Mis l’eau à couler a la bonne température, se glissa sous le jet.

Une fois mouillé il commença à lui savonner le dos avec des petits massages, la fit ce retourner vers lui, l’embrassa, lui savonna ses seins bien ferme, descendit vers son intimité, lui titilla son bouton d’or.

Elle commença à gémir de plaisir, une nuit d’amour allait s’ensuivre après cette douche sensuelle.

Au petit matin, un petit déjeuné rapide, le taxi l’est attendait à la porte de leur maison, prirent leur bagages, et s’engouffre dans la voiture.

Le véhicule se mis à rouler direction l'aéroport international Montréal-Mirabel, les déposa devant l’hôtel Marriott dans le secteur des départs pour les états unis.

Entra dans le hall des départs, on pouvait apercevoir une exposition concernant le 100eanniversaire de l'aviation au Canada.

Sept heure du matin c’était l’ouverture des guichets d’enregistrement pour les embarquements, ils leurs restait encore une heure à attendre de monter enfin dans l’avion.

Tout en sirotant, un verre au bar ils entendirent une voix suave au micro ; vol pour Miami Floride via Hallendal, veuillez-vous présenter porte cinq pour l’embarquement.

Installé en première classe, assis dans leur fauteuil côte à côte, la main dans la main, à attendre que enfin l’avion décolle.

Ils entendirent les portes se fermer, les moteurs vibrer légèrement sous leur pieds, la voix du commandant se fit entendre dans tout l’appareille, nous souhaitant la bienvenue à bord du Boeing 787.

La télévision s’allume montrant une femme en tenue bleu marine, dans l’allée central une hôtesse de l’air avec un gilet de sauvetage montrant les gestes à faire et à ne pas faire.

Le voyant rouge s’allume pour nous dire de mettre la ceinture, l’avion commença à rouler sur l’asphalte, il prit de la vitesse et décolla du sol en faisant un virage vers le sud.

Au bout de quelque minute, l’avion avait pris sa vitesse de croisière, l’hôtesse déambula dans l’allée centrale avec un chariot remplis de victuailles et de boissons.

Elle arriva à leur auteur et nous proposa une collation, Lyly pris une coupe de champagne, Alex pris une vodka tonic, et une salade de crudités pour les deux.

Dans les haut-parleurs une musique ce fit entendre, une chanson de Fanny J, ‘’ancré à ton port ‘’, Lyly commença à la fredonner, tout en se collant a Alex.

Dis-moi ce que tu as sur le cœur

Pourquoi t'as toujours l'air ailleurs

En moi je te sens si sensible

Mais tu m'as l'air inaccessible

Parle-moi de toutes tes peurs

Pourquoi tous ces changements d'humeur

J'ai l'impression de te faire fuir

Ne vois-tu que de toi

Que de toi

Que de toi, j'ai envie

Refrain :

Dis-moi qu'entre toi et moi un jour ça va coller

Chéri tu sais de toi je ne peux plus me décoller

Je me suis ancrée à ton port je ne peux plus me décoller

Dis-moi qu'entre toi et moi un jour ça va coller

Je ne suis pas sourde

J'ai compris tes détours

A pas de velours

Je te vois venir tu te défiles

Quoi que tu en dises, je sais que je suis ta hantise

Si tu le désires je reprendrais ma vie

Mais je dois te dire quand même

Que je t'aime

Je t'aime

Refrain

Prends-moi dans tes bras et dis-moi-que tout ira bien

Puisque dans tes draps tu m'accueilles, mais il ne se passe rien

Une lueur d'espoir donne-moi et tout ira bien

Je veux me donner à toi tu sais

Prends-moi dans tes bras et dis-moi que tout ira bien

Puisque dans tes draps tu m'accueilles mais il ne se passe rien

Une lueur d'espoir donne-moi et tout ira bien

Je veux me donner

A toi tu sais

Je veux me donner

A toi tu sais

Je veux me donner

A toi tu sais

Je veux me donner

A toi tu sais.

A la fin de la chanson Lyly se pelotonna un peu plus dans les bras d’Alex et se mis à murmurer ; mon cœur prends-moi dans tes bras et dis-moi que tout ira bien, mon cœur tu sais de toi je ne peux plus me décoller

Je me suis ancrée à ton port je ne peux plus me décoller.

Alex lui mit ses mains sur son visage, avec ses pouces il lui caressa le visage, et l’embrassa avec amour et sensualité.

Et lui dit ; tout ira bien mon namour a moi, je suis à toi pour toujours, je t’aime à la folie, je suis bleu de toi, et personne ni rien ne nous séparera.

Il lui sécha une larme qui s’était présenté au coin de l’œil de Lyly, lui fit quelques bisous sur son visage tout en le caressant.

Alex lui tendit la coupe de champagne, il prit son verre et se mirent à boire,

puis grignoter leurs salades, tout en discutant de leur vacance en Floride.

Après un peu plus de deux heures de vol, l’hôtesse de l’air pris le micro pour annoncer l’atterrissage imminent à l’aéroport de Fort Lauderdale.

Par les hublots on pouvait distinguer la mer et les rivages de sable blanc de Hallendal.

Une fois sortie de l’avion, et fait les modalités d’usage de transactions à l’aéroport Alex et Lyly prirent à la sortie un taxi.

À peine un quart d’heure plus tard pour arriver au building du Beach club ou se trouvait leur appartement au onzième étage avec superbe vue sur l'Intracoastal et la mer.

Une fois entrée dans le bâtiment, Alex et Lyly prirent l’ascenseur, appuya sur le chiffre onze, les portent se fermèrent sur eux.

Cela faisait un moment qu’ils ce n’étaient pas retrouvé tous les deux seul,

Lyly se rapproche d’Alex et mis ses mains autour du cou d’Alex, et se mis à l’embrasser doucement, puis fougueusement.

Alex ne tenant plus aux manques de lui faire l’amour, il bloqua l’habitacle entre deux étages et se mis à visiter le corps de Lyly de ses mains, lui dégrafe son chemisier pour embrasser les seins bien dur d’envi.

Il releva la jupe de Lyly lui retira doucement sa petite culotte de dentelle noir.

Se mis à genoux et commença a visité de sa langue son entre jambe, Lyly gémissait de plaisir difficile à contenir, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus se retenir.

Il déboutonna son pantalon, en sortie son fruit gonflé d envi, et se mis à visiter les parties intimes de Lyly, qui a son premier passage se mit à gémir de plaisir.

Il la souleva, pris les jambes de sa partenaire, pour les coller au-dessus de son bassin, et se mis à faire des gestes sur, et précité d’un déhancher.

Au rythme lent au début, puis plus frénétique, jusqu’à ce qu’il donne le maximum de plaisir a Lyly, avant de déposer son nectar en offrande.

Une alarme se mit à retentir, les sortants de leurs euphories, Alex débloqua l’ascenseur, qui continua sa monté vers le onzième étage.

Arrivée à l’appartement ils découvrirent leur futur logement pour quinze jours.

Lyly posa ses valises et se mit à arpenter l’appartement son regard brillais de joie à la découverte des pièces.

Il se trouvait deux chambres à coucher dont une avec lit King. Evidement elle choisit la dernière, deux salles de bains complètes coller à chaque chambre. Cuisine tout équipé gris orage et crème et, une salle à manger de couleur gris foncer moucheter de gris clair en rotin tresser recouvert d’un verre, un salon avec télé plasma et DVD. Lyly s’assit dans le canapé confortable couleur anthracite, en cuir.

Alex en grand gamin ce mit à triturer la télécommande de la télévision pour voir les programmes auquel ils avaient accès dans ce pays, les images défilaient à une vitesse vertigineuse.

Lyly le laissa s’amuser et décida de vider les valises dans la plus grande chambre au lit King, elle en rêverait d’en avoir un à la maison, pouvoir choisir suivant sa convenance la position du lit, que du bonheur…

Une fois tout rangé, elle s’allongea pour se reposer, elle ne tarda pas à s’endormir.

Dans son sommeil elle sentie contre elle une présence, une main qui la caressait a même la peau, elle se retourna et se pelotonna dans les bras d’Alex pour mieux s’endormir.

Le lendemain, ils prirent la direction de la plage, histoire de se réchauffer les orteils sur le sable doré.

- Il n’y a pas meilleur moyen pour se détendre et se rafraichir qu’un bon bain de mer. Dit Lyly

Toute la journée, ils prirent du plaisir au soleil et à nager dans les eaux de l’atlantiques chaude.

Le soir venu ils remontent à l’appartement pour se changer avant d’aller au restaurant qui se trouvait sur le bord de la plage.

Dans la salle de bain un douche à l’italien si trouvait, ils la prirent ensemble.

Un jeu de sensualité et de plaisir s’ensuivit, l’eau tiède coulait sur leur peau rougit par le soleil.

Alex porta Lyly, callant ses cuisses au creux de son bassin, lui pris sa bouche pulpeuse, tout en lui faisant des mouvements de va et vient.

La reposa, coupa l’eau et lui badigeonna son dos du savon liquide, tout en lui massant le dos. La fit pivoté pour la savonné devant jusqu’à ses parties intime en lui donnant du plaisir. Elle fit de même pour Alex, pris son fruit et le massa érotiquement.

Alex rouvrît l’eau pour qu’ils puissent se rincer, s’essuient mutuellement avec de grandes serviettes.

Une fois dans la chambre, ils s’apprêtèrent pour la soirée, restaurant, puis boite de nuit, a même la plage.

Magnifiquement conçu et décoré le restaurant grills est d’un pittoresque, avec un énorme bar en plein air pour faire patienter la clientèle d’avoir une table de libre. Exclusivement spécialisé dans les fruits de mer de la région et légume frais.

A peine franchit l’établissement un réceptionniste les pris en charge, les accompagna a une petite table style bistrot sur la terrasse au-dessous d’un énorme palmier. Un serveur arriva pour passer commande d’un apéritif avant de passer à table dans une salle juste à côté.

Lyly et Alex sirotait leur cocktail en regardant le soleil descendre vers l’horizon. Les lumières changeaient de couleur au gré de l’astre solaire, la mer pris une couleur orange puis rosée.

Alex prit la main de Lyly dans la sienne tout en la caressant de son pouce.

Ils se sentaient bien là tous les deux, dans ce petit bout de paradis terrestre, un fond de musique brésilienne se faisait entendre.

Les derniers plagistes rangeaient leur serviette de bain, la plage devint déserte et tranquille de tout mouvement.

Un serveur vint les chercher pour les accompagner à leur table avec vu sur la mer de la grande baie vitré. Présenta le livret de menu a chacun tout en leur proposant le menu du soir.

Ils commandèrent des gambas grillées, accompagné d’une sauce piquante et d’un riz sauvage.

A la fin du repas, ils allèrent sur la plage bras dessus dessous marcher, la nuit est tombé, sur des kilomètres on voit les lampadaires illuminer le bord de mer. On entendait juste le bruit des petites vagues mourir sur le rivage.

Ils s’arrêtent de marcher pour contempler le spectacle, que la nature s’offrait à eux. La lune brille de sa lumière blanche, sur l’eau calme devenue de la même couleur que le ciel d’un noir profond.

Alex prit Lyly dans ses bras et l’embrasse tendrement lui caressant d’une main la joue de sa femme avec tendresse.

Ils restèrent là un moment comme si le temps les avait figés, comme deux ombres chinoises, sous une pluie d’étoiles.

Quelques minutes plus tard, ils prirent la direction de la boite de nuit, qui ce trouvais non loin de là.

A l’approche du bâtiment, on entendit des brouhahas, des rires, des éclats de voix, et en sourdine de la musique.

Une fois, a l’intérieur ils découvrirent les différentes pistes de danse suivant le style de musique, à moitié couverte une piscine ou les clients s’y baignaient, des transats cotés terrasse, un long bar ou se trouvaient une multitude de serveurs préparant des cocktails aux shakeurs.

Alex et Lyly passèrent leur nuit à danser aux différents rythmes des musiques diffuser suivant les pistes de danse, des années 80 à nos jours en passant par les danses latino, à boire des cocktails de fruits acidulées aux noms exotique à faire rêver.

Au lever du jour, ils rentrèrent à leur appartement se reposer de leur nuit endiablée.

Pendant les deux semaines qui leur était allouer, ils visitèrent les environs descendirent jusqu’à Miami Beach, en passant par Hollywood visité les grandes artères aux étoiles de star, montèrent jusqu’à fort Lauderdale pour ses parcs naturel.

Passèrent des journées en mer, sur le sable à bronzer, et au bord de leur piscine privée pour les habitants de leur immeuble.

Profitèrent de la salle de musculation du sous-sol, tout en participant à des activités sportives avec un coach.

Le dernier jour arriva bien vite à leurs gouts, ils durent refaire leurs valises,

Reprendre le chemin de l’aéroport pour rentrer à contre cœur dans leur pays natal.

Une fois dans l’avion, un peu triste de partir, mais des belles images plein la tête, des souvenirs inoubliables.

 

Fin

 

Publicité
23 février 2012

Escapade urbaine a new York

Escapade urbaine a new York

 

Apres plusieurs heures de vol depuis Paris l’avion commence sa descente vers l’aéroport de New-York.

On aperçoit la ville à travers les hublots

Quel chance que j’ai eu de gagner ce séjour dans cette ville mythique,

La plus électrisante des villes des U S A.

L’avion atterrit avec quelques secousses rien de bien méchant

Après les trous d'air rencontré en plein vol.

L'hôtesse de l'air ouvre les portes, je me levais pour prendre mon bagage à main dans le caisson, un homme s’approche de moi et me prend ma valisette.

En me la donnant je croise son regard d'un bleu intense et souriant.

On y plongerait bien dedans si baigner, nos mains se frôlent furtivement.

A peine quelques mots échangés il se dirige vers la sortie, je me suis sentie comme aimanter par cette personne, en la regardant traverser la calandre.

Revenue a de mes songes, je me dirige vers l'escalier ou nous attendais une navette, pour accéder à l'aéroport de New-York.

Le passage des douanes se fit sans trop d'encombre, il me reste plus qu'a récupéré mes valises sur le tapis roulant qui tourne sans arrêt remplis de bagages.

Au loin j’aperçue l'homme de l’avion, un je ne sais quoi me donnait l'envi d'aller  vers lui et de lui parler.

Sans trop y croire qu'il s'intéresserait a moi je fis mine de passée à côté de lui en faisant semblant de tomber pour qu'il me rattrape avant la chute.

J’atterris dans ses bras musclés, qui sous l’effort ce mis à durcir, faisant mine d’être gênée en me redressant.

Je balbutiai quelque mots d’excuses, lui d’une voix un peu roque me dit que c’était rien.

Me propose de m’assoir sur des fauteuils qui venaient de se libérer juste à côté de nous.

Il prit mes bagages et son sac à dos, tout en se dirigeant vers nos futures assises il me demande ou je suis descendue comme hôtel.

 A l’Ace hôtel lui dis-je !! Il s'agit d'un des hôtels les plus tendances du moment à New York : esprit loft j’adore ce style.

Logiquement un chauffeur doit venir me chercher à la sortie du terminal,

Il est chargé de me conduire à l’hôtel à bord d’une Sedan Luxury,

Donc j’attends qu’il arrive, et vous, vous êtes descendu aussi à un hôtel ??

A là, le hasard fait bien les choses, je suis moi-même descendu a cet hôtel,

dit-il….moi-même j’attends un chauffeur on pourrait prendre la même voiture ?? Quand dites-vous ??

J’en revenais pas qu’il m’est dit ça, c’était vraiment un pure hasard vu la grandeur de cette ville.

Une joie intense se fit en moi je me l’expliquais pas trop, pourquoi cet attirance vers cet inconnu ?

Un chauffeur de haut standing apparu avec une pancarte avec nos deux noms inscrit dessus.

On lui fit signe que c’était nous qu’il cherchait, il prit nos bagages et les installa sur un petit chariot, nous priment la sortie de l’aéroport direction des parkings prévus pour les taxis.

Quand je vie la voiture de luxe qui  nous attendait, je me sentie des ailes pousser, j’étais au paradis.

Pendant le trajet qui nous amenaient a l’hôtel, je regardais ébahit les buildings.

Arrivée à l’hôtel il me propose de diner avec lui le soir même, ca qui évidemment j’acceptai avec joie.

Arrivée le soir il frappe à la porte de ma chambre, habillé d’une chemise

Unit de couleur pale entre ouverte qui faisait ressortir son hale de sa poitrine, avec un jeans noir moulant certaines formes pondérâtes.

Humm un frisson parcourue mon échine dorsal, en le regardant, je prie mon sac à main et je le suivis dans l’ascenseur ou un groom appuyait sur les étages demandés.

Il me frôla la jambe, c’était trop étrange cette sensation ressentie, les étages défilais sur un tableau a une allure impressionnante.

Le ré- de- chaussé allait bientôt s’annoncer part le groom, pour rejoindre  le restaurant de l’hôtel.

La un serviteur nous accueillit, on demande une table pour deux, il nous installe dans un petit coin un peu retiré, pas loin d’un piano, ou un pianiste fait virevolter ses mains sur les touches blanche et noir,

un air de jazz.

Nous priment un apéritif, l’alcool me monte un peu à la tête, après ces heures de vol j’étais un peu fatiguée.

On se mit a discuté de tout et de rien, dévoilant un peu notre vie privée personnelle, ses longues jambes me frôlaient de temps en temps à chaque fois qu’ils leurs changeaient de positions.

Le repas finit il alla voir le pianiste lui demande une musique, m’invite à danser sur un slow, nos corps se rapprochais au fur et à mesure.

Je sentais plus mon corps comme si envouté, j’avais envie de fondre en lui, de ne plus quitter de ses bras, une sensation de légèreté me pris.

Ses lèvres se posèrent sur les miennes délicatement, comme si j’étais en porcelaine, a ce contact je me suis vu pris de vertige, la tête me tournais.

Je lui répondis part un baisé langoureux, suave de passion,

Plus rien existait autour de moi, ni les gens qui dansaient, ni les gens qui mangeaient, rien le noir total, j’étais dans ma propre bulle de plaisir.

La musique ce tu, il me raccompagne a notre table, récupéré nos affaires,

Et nous priment la direction de l’ascenseur, il m’accompagne jusqu’à ma chambre et la déception me dépose un bisou et me souhaite bonne nuit.

Un peu par dépits je claque la porte de ma chambre, je me déshabille, et je me prends une douche, j’enfile une nuisette, et direction le grand lit vide.

Cela faisait a peine cinq minute que je m’étais enfuit sous mes draps, que l’on frappe a ma porte.

Je me lève, j’ouvre et que vois-je devant moi ??

Mon bel inconnu de l’avion avec une bouteille de champagne et deux verres a la main.

Je le fait entrer, il pose la bouteille et les verres sur un guéridon.

Se  retourne vers moi, fit quelques  pas en  ma direction et me pris dans ses bras.

Je ne savais pas dormir, je pensais qu’à toi, j’avais trop besoin de sentir ta peau contre moi. Me dit-il !

Il laisse tomber sa chemise, me retire ma nuisette, me soulève du sol et me dépose délicatement sur le lit.

Il commence par m’embrasser mes lèvres, descendre dans mon cou,

aller vers la gorge de mes seins qui a son touché se durcir.

Ses mains, se promène a la recherche de connaitre mon corps, il me caresse mes cuisses et vient visiter mon entrejambe, stimule mon bouton d’or.

Il se lève, prend un peu de champagne me le fait gouter, puis verse sur mon ventre le restant de son verre.

Avec sa langue, il se mit à suivre le ruissèlement,  en se dirigeant vers mon bas ventre, il mit sa tête entre mes jambes écarte légèrement mes lèvres et commence un jeu sensuelle de plaisir, je sens des contractions venir de plus en plus forte, pour finir avec une explosion de plaisir.

Il m’embrasse, me resserre une coupe de champagne, en met un peu sur son fruit bien mur de plaisir, me le présente pour que de ma langue, je lape

Le breuvage.

A ce contact je senti une raideur supplémentaire, je le mis bien en bouche, avec ma langue je fis des va et vient jusqu’à ce qu’il en puisse plus.

Il me le mit a l entré de ma grotte ensorceler, le fit glisser dans ma rivière de plaisir, jusqu’à toucher le fond des abymes.

Il cherche la position adéquate, pour me donner le plus de plaisir, il le voit à mon visage qu’il la trouver.

 Tout en faisant des allers, retours et en insistant bien sur mes endroits sensible au jeu de l’amour ses mains me caressaient, jusqu’à ce que tel un jeiser une explosion de plaisir me remonte à la surface.

Il continue ses va et vient plus frénétiques pour faire sortir la sève de son fruit au plus profond de mon antre.

Il se laisse tomber à côté de moi essoufflé, le cœur battant la chamade.

De sa main il continu a me caresser comme pour rien oublier de ce moment de plaisir.

Jusqu’à ce que Morphée nous prend.

A l’aube, il me réveille de ses bisous, de ses caresses, de son besoin de me faire l’amour.

 

 

 

 

 

 

22 février 2012

Une journée d'halloween !!!

Une journée d'halloween !!!

 


 

 

 

Quelle journée en ce 31 octobre,

Elle a bien commencé ce matin,

superbe brouille avec mon petit ami,

monsieur partit en claquant la porte!!!!

Arrivée au travaille, j'ai dû supporter

 la mauvaise humeur du patron.

Faire des sourires aux enfants

 qui venaient chercher des bonbons,

en ce jour d'halloween.

Ouf enfin la journée est terminée,

c'est le week-end....

 Sur le chemin,

je m'arrête au traiteur du coin,

de quoi faire un dinée en amoureux!!!

 

 Arrivée à la maison,

une impression bizarre, me traverse l'esprit...

Je dépose mes courses dans la cuisine,

et  retourne dans le salon,

c'est à ce moment-là que j'ai su,

Toutes les affaires personnelles

de mon petit copain avaient disparu.

Je vais voir dans la chambre,

les armoires ne vides plus rien,

son coin penderie un trou béant.

Le choc... je n’en crois pas mes yeux,

il est partit comme ça,

sans aucune explication!!!!

 

Je reste assis dans mon canapé, sans bouger,

la boite de mouchoir en papier devant moi...

anéantit qu'il m'est abandonné de cette façon.

Je lui téléphone plusieurs fois sur son portable.

 Aucune réponse de sa part,

seul sa voix sur un banal répondeur.

Cette voix que j'aimai tant entendre,

qui me disait des mots d'amour.

Je mets la télévision pour regarder

nos dernières vacances au bord de la mer.

Mon dieu qu'il est beau, mon apollon.

Que de bons souvenirs de cette semaine-là!!!

 

 J'appelle ma meilleure amie,

pas de chance... elle n’est pas chez elle.

Je ne vais pas rester seule ce soir,

c'est halloween...

c'est décidé je sors en boite.

Je prends une douche bien chaude,

pour me détendre un peu.

Je regarde dans ma malle fourre-tout,

si je ne trouve pas un déguisement.

Super en sorcière sexy,

c'est tout à fait sa qu'il me faut.

Pantalon moulant en cuir noir,

un petit haut sexy rouge,

une perruque rousse

et le bon sacré chapeau de sorcière.

Sur ce, direction la salle de bain,

pour le maquillage de façon à effacer

toute trace de mes pleurs.

 

Je demande un taxi de venir me chercher,

pour me déposer devant la boite ''le palais''

dans le 8emme arrondissement.

Ce soir tout le monde entre que déguisé.

Je vais au bar me commander à boire,

et je m'installe dans un petit coin tranquille,

Là où personne ne peut me voir.

Mes pieds commencent à bouger au rythme

de la musique, je décide d'aller danser.

Pris au jeu de la musique, je me mets en transe.

Plus rien ni personne excite sur la piste.

22 février 2012

Tranche de vie

  Tranche de vie

 

  Une mamie de 98 ans,

   sur son lit de mort,

   fait une dernière confidence

   à son mari de 99 ans

   qui est effondré de chagrin.

 

   Gérard, mon petit Gégé

    avant de fermer à jamais mes yeux,

     je voudrais te révéler un secret.

 

     Tu vas aller au grenier,

     sur la 3 Emme poutre

     au fond à gauche,

     tu trouveras un carton,

     va le chercher.

 

     Le mari, très surpris,

     monte difficilement au grenier,

     et après 5 minutes,

     redescend dans la chambre avec le carton.

     Il l'ouvre, et trouve à l'intérieur

     2 petites boites:

     l'une contient 3 œufs

     et l'autre 250 000 euros.

     

    A la vue des billets,

    les yeux de Gégé s'illuminent.

    Dit-moi, ma tendre peau douce,

    c'est quoi les 3 œufs?

 

    Eh bien, Gégé,

    depuis 78 ans que nous sommes mariés,

    chaque fois que je n'ai pas eu d'orgasme

    quand on faisait l'amour,

    je gardais un œuf de poule.

 

    Gégé pas peu fier d'apprendre

    qu'il n'a eu que 3 ratés en 78 ans,

    se sent rajeunir....

 

    Puis il demande à sa peau douce:

    et les 250 000 Euros ?... c'est quoi ???

 

    Et bééé..... c'est tout simple....

    Chaque fois que j'avais 12 œufs,

    j'allais les vendre !!!!

    

                      ''auteur inconnu"

    

   

 

     

22 février 2012

Un été sur la plage

C’est là que tout recommence quand le soleil se couche
je n'arrive plus à faire la différence entre rêve et réalité,
je voie le ciel ce mettre au rouge avec son soleil couchant,
et ma dulcinée à mes coter
oh quel chance j'ai de l'avoir auprès de moi,
j'en crois rêver.
assis sur la plage à regarder la mer devenir rouge sang,
quel magnifique image l'eau scintille de mille feu,
je ressert ma dulcinée dans mes bras ,
elle est pris de frissons qui vient de l'intérieur,
je la serre encore plus fort dans mes bras,
je veux pas qu'elle est froid ,
oh quel chance de l'avoir auprès de moi,
elle a sa tête sur mon épaule ,
je l'embrasse sur le front ,
je l'aime de ton mon cœur,
le soleil se reflète sur son visage ,
quel est belle , son regard n'est que amour
je l'aime à mourir, ma bien aimée
cet ange venu du ciel un soir d'été
oh quel chance de l'avoir auprès de moi
ma dulcinée a moi celle dont j'ai toujours rêvé ..
La nuit commença a tombé
le soleil c'est éteint dans la mer
le spectacle terminé on se leva
en lasser dans mes bras nous rentrâmes
a notre petite maison du pêcheur
pour passer une nuit plein de rêves
de bonheur et d'amour jusqu’au petit jour.


 

 

22 février 2012

Un homme et une femme[

 

 vendredi 9 octobre 2009, à 02:40 |

Lui:
il regarde la télé, encore des niaiseries se soir
alors c la sortie assurée,
il va prendre sa douche
s'habille d'une chemise noir légèrement ouverte
moulant bien ses muscles seyants
un jeans mettant en valeur ses formes,
sa chevelure courte blonde
contrastant avec sa peau haler par le soleil d’été.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
elle :
ces amies l'ont laisser tomber pour la soirée
mais tant pis elle décide de sortir quand même
se prépare un bon bain moussant
avec des huiles essentielles qui fleure bon la salle de bain
en sortant de son bain elle s'installe devant sa glace
et commence à se maquiller discrètement
mais assez pour que ses yeux azel ressorte
se met un petit bustier noir porte jarretelle
un chemisier noir transparent ,
enfile ses bas fin et les attachent à ses jarretelles
puis met une mini-jupe noir,
ses chaussure a haut talon la voilà prête pour sortir .
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
lui :
après avoir demandé un taxi se retrouve devant une boite de nuit
assez branché et où il a ses petites habitudes
entre dans la boite et s'installe comme toujours au contoire.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
elle :
elle marche sur le trottoir ,
elle a décidée d'y aller à pied ,
la boite se trouve pas très loin de chez elle
les hommes se retourne sur son passage sa la fait sourire
c'est toujours comme ça dès qu'elle sort on la regarde
arrivée à la boite elle y entre comme en pays conquis
s'installe à une table et se commende une coupe de champagne
il y a du monde plein la piste de danse , sa lui donne envie d'aller danser
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
lui :
il a vu une superbe femme entrée et s'assoir a une table
maintenant il la regarde danser sur la piste de danse ,
son corps commence à se réveiller rien qu'à la regarder
il se décide à aller la rejoindre sur la piste
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
elle:
elle voit un apollon apparaître devant elle
wouaaaaaaaaa superbe le mec se dit 'elle

leur regard se croise elle est prise de frisson
tellement le regard la fascine elle ne peut pas le quitter
elle s'en approche irrésistiblement vers lui comme un aimant
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
lui:
en arrivant sur la piste il croise son regard son envi augmente
il est émerveiller part sa beauté , il se rapproche d'elle
il la sens réceptive a son regard ,
il a une envi de la prendre dans ses bras
vivement que les slows commence pour l'invitée.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
elle:
elle s'approche de lui, en le lui lâchant pas du regard
comme hypnotisée part ces yeux bleu azur
elle a une envie de se retrouver dans ses bras bien musclés
de le touché ,ça ne lui était encore jamais arrivée cet sensation-là
elle se sent complètement désemparée par cet homme qu'elle connait pas
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
elle et lui:
la musique change de rythme
son vœux est exaucé les slows arrive
il l'invite à danser évidement elle accepte sans aucune arrière-pensée
elle se blottit dans ses bras comme si elle le connaissait depuis toujours
cet sensation de bienêtre qui lui parcourras tout le long de l'échine
il la reçoit dans ses bras en la serrant comme si c'était la chose la plus fragile
ho que c'est bon de ressentir cet émotion
une envie irrésistible de s'embrasser leur est donner
ils ne voient plus ce qui se passe autour d'eux ils sont entrée dans un monde parallèle
ils se prennent la main sorte de la boite pour rejoindre son appartement à elle
arrivée devant la porte il ne peuvent a peine attendre d'être à l'intérieur
pour ce toucher ,se caresser, s'embrasser langoureusement
elle ouvre la porte , la claque d'un geste brusque tellement son envie est grande
ils se déshabillent jettent leur vêtement  pêlemêle , se retrouve dans la chambre
et se font des câlins de désir,
des préliminaires à ne plus en finir tellement leur plaisir est grand
ils finissent par ne faire plus qu'un et à s'endormir de fatigue et d'amour !!


 

 

Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
les ecrits de la fée des anges
Publicité
Archives
Publicité